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235,66 millions d’euros levés cette semaine par les startups françaises.

Chaque semaine, nous faisons le point sur les entreprises et startups de la scène française qui lèvent des fonds.

#1 - 80M d'euros côté Microtech pour ITEN, des fabricants de micro-batteries

Les micro-batteries, c’est le pari que s’est lancé ITEN. Cette société, créée en 2011, s’est spécialisée dans le domaine et effectue des recherches sur ces composants et ses différents domaines d’applications en micro-technologies. Le principe réside sur l’alliance entre une batterie classique, et un condensateur. Le tout offrant une très forte capacité de recharge, une très longue durée de vie et une température de fonctionnement moindre, le tout dans un très petit format.

« « Après plus de 8 ans de R&D, nous disposons de plus de 200 brevets dans le monde, notre technologie est aboutie et nous serons en mesure de fournir tous les industriels, même ceux utilisant les composants électroniques les plus exigeants, comme par exemple les fabricants d’équipements médicaux dont les produits doivent être stérilisés à 150 degrés. »

Forte de ses technologies et de son expérience acquise dans le domaine des micro-batteries, ITEN envisage désormais d’étendre ses savoir-faire au développement de batteries conventionnelles ultra performantes.

#2 - 48M d'euros côté Foodtech pour GOURMEY, la startup qui fabrique de la viande synthétique.

GOURMEY est la marque française leader dans le domaine de la création de « viande synthétique », à savoir recréer l’expérience de la consommation de viande, sans atteindre à la vie d’un animal pour l’obtenir. Aussi appelée « Lab Meat » (« Viande de laboratoire »), elle consiste en le prélèvement de cellules musculaires d’un animal, et de la culture de ces dernières en laboratoire afin de recréer artificiellement un « morceau » complet au bout d’un certain laps de temps.

Les recherches dans ce domaine se poursuivent depuis maintenant une vingtaine d’année et les premiers résultats concluants commencent à apparaître, avec notamment des entreprises outre-Atlantique telles que SuperMeat. En 2013, cette technologie avait un coût de production de 330,000 $ pour 100g, contre seulement 9 $ aujourd’hui. Les prix baissent parce que l’échelle de production s’améliore et que les matériaux coûtent moins cher.

#3 - 25M d'euros côté Fintech pour Yomoni, qui veut aider les français à mieux gérer leur épargne.

Yomoni est une société qui cherche à aider ses clients à gérer leur épargne, à faible coût, et proposant un accès plus axé sur le numérique. L’entreprise considère que l’offre bancaire concernant l’épargne en France n’est pas à la hauteur d’un point de vue du conseil, mais aussi des produits financiers, et compte remédier à cela.

25 millions d’euros, pour quoi faire ? Cette somme permettra à Yomoni de délivrer une expérience d’épargne toujours plus performante et plus aboutie ; d’investir massivement pour une visibilité accrue ; le recrutement de nouveaux talents et l’amélioration continue de sa plateforme technologique. 

« Yomoni souhaite redonner ses lettres de noblesse au pouvoir de l’épargne, en se positionnant comme un acteur qui défend les intérêts des français à l’heure de l’inflation et des questionnements autour de la pérennité du système de retraites. »